Arts Sutton automne 2017

Par Dominique Parent

Lisanne Binette  &  Eva Richardson 

Jardins bigarrés  &  Passages 

Du 10 août au 3 septembre

Vernissage dimanche 13 août, de 14 h à 16 h

Les Jardins bigarrés de Lisanne Binette s’inspirent de la nature et du travail de la terre. Par une esthétique minimaliste, l’artiste tente de présenter les éléments des jardins naturels ou cultivés, à une autre échelle que celle de la réalité observée. « À chacun de voir dans ces toiles, ses propres exubérances et d’en multiplier les interprétations. »

L’œuvre d’Eva Richardson explore l’interaction du hasard et du contrôle. En ajoutant et en soustrayant des couches de peinture, elle travaille la surface de ses toiles et cherche à créer une aire de mouvement et de mystère autour de ce qui est caché et de ce qui est révélé. Eva Richardson a étudié la peinture et le dessin à l’Université Concordia et à l’École des beaux-arts de Glasgow en Écosse. Elle vit et travaille à Montréal.

         

   

Suzanne Ferland

Espaces perçus

 

Du 7 septembre au 1er octobre

Vernissage dimanche 10 septembre, de 14 h à 16 h

Par la photographie, Suzanne Ferland capte certains points de vue de paysages qu’elle recadre afin d’en proposer une nouvelle lecture. Elle recompose un espace pictural où elle intervient ensuite en peinture, inventant un univers inédit situé entre le réel et l’imaginaire.

Espaces perçus propose sa vision de lieux symbolisant de fragiles jardins de vie et de renouveau, tels le verger et le marais, tout en proposant une représentation plastique de la réalité où notre regard perd ses assises archétypales du paysage.

Deborah Chapman

Écho de la lumière

Du 5 octobre au 5 novembre

Vernissage dimanche 8 octobre, de 14 h à 16 h

Dans Écho de la lumière, Deborah Chapman choisit de présenter un ensemble d’œuvres à partir d’une technique particulière : la manière noire (ou mezzotinte). Un procédé de gravure en taille douce qui magnifie la lumière et l’ombre tout en intensifiant la vibration du blanc, à travers la fugitive beauté des sombres mouvances du noir. En sculptant l’ombre et la lumière en plans dynamiques, l’artiste construit ainsi un monde utopique ou idéaliste.