Annie Rouleau
L’Été. Les couleurs. La nature qui vit, malgré nous, à son compte, produisant à sa guise ces plantes qui s’entraident, rivalisent, succombent, survivent. La résilience intrinsèque de la nature. Bon, je m’écarte déjà. Mon objectif étant de continuer le texte proposé au printemps, présentant des plantes sauvages comestibles. L’intérêt pour celles-ci semble gagner du terrain.…
Lire la suite...Après les jolis, mais longs mois d’hiver, la douceur du printemps fait revivre les gens qui, comme moi, apprécient moins la neige et le froid. J’aime mieux gambader dans les champs, malgré les tiques. Il est aussi plus facile de se nourrir de produits frais par trente degrés au-dessus qu’au-dessous de zéro. Comme je ne…
Lire la suite...En fin d’été dernier, des gens fantastiques m’ont sommairement initié à la permaculture1. Je me suis demandé pour quelle raison je n’avais pas porté attention à cet art bien avant, tant je trouve le raisonnement logique. Nous visitions alors une forêt avec comme objectif de planifier la restauration de l’écosystème et lui rendre son état…
Lire la suite...Il arrive que vous commentiez mes textes, ce que j’apprécie grandement. Mon dernier article a suscité une observation de la part d’un d’entre vous, ce qui m’a inspiré les mots qui suivent. Cet écrit parlait du sureau et du magnifique verger de Vitalité Sureau à Lac-Brome. J’y présentais un survol des propriétés médicinales de cette…
Lire la suite...La culture de petites baies grandit en popularité au Québec. Baies d’argousier, d’aronia, d’amélanchier, de camerisier, percent le marché chacune à leur manière, pour leurs bienfaits sur la santé et pour les plaisirs de la bouche qu’elles proposent. Étant toutes indigènes de nos contrées, elles sont relativement faciles à cultiver pour qui a un tant…
Lire la suite...Pour ceux et celles qui l’ignorent, le chef Christian Beaulieu est désormais aux fourneaux à l’Auberge des Appalaches. Pour ceux et celles qui ne le connaissent pas encore, le chef a officié plus de huit ans au regretté Bistro Beaux Lieux, jadis situé rue Principale à Sutton, avant quoi il était la figure de proue…
Lire la suite...De l’ère paléozoïque demeurent quelques vestiges végétaux encore bien vivants. La prêle des champs en est un, comme les fougères et les lycopodes. Elle est utilisée par l’humain depuis, ma foi, fort longtemps et, comme tant d’autres, elle n’est l’objet que de quelques rares études cliniques plus ou moins bien documentées, donc peu crédibles pour…
Lire la suite...Le ciel éditorial québécois s’est enrichi, en novembre dernier, d’un nouveau magazine ou plutôt d’un ex-journal revu et amélioré. Il s’appelle tout simplement « Plantes médicinales », question d’entrer rapidement dans le vif du sujet. Le magazine se veut le porte étendard de la Guilde des herboristes du Québec et, à ce titre, il rempli fort bien…
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