Annie Rouleau
Les gens qui choisissent de quitter la ville pour habiter la campagne ont sans doute une volonté de fuir un certain excès de stress, si insistant en milieu urbain. Les sollicitations sont quand même moins intenses en haut d’une butte, avec vue panoramique et petits oiseaux tout le jour durant, qu’au coin de St-Laurent et…
Lire la suite...Force de joie Paix assise Forêt compacte Arôme déité Contre ombres Vieille flamme L’essence tonique En corps mieux Ces mots équivoques, nés de la plume de mon amie Mylou Sauvage, sont comme la plante du jour, le romarin, Rosmarinus officinalis. Plante d’hiver, de situations froides où le corps a du mal à garder ou à…
Lire la suite...On m’a dit, un jour, que la mémoire olfactive est la plus forte de toutes celles que nous possédons. Peut-être est-ce un attribut témoignant de notre généalogie de mammifères. En tout cas, si je fouille mes souvenirs, il est indéniable que les odeurs sont des machines à voyager dans le temps. Il va sans dire…
Lire la suite...Au moment d’écrire ces lignes, les arbres ont revêtu leur panache d’automne. Les montagnes flamboient sous le soleil d’octobre et me font chavirer. Mon âme fait le plein de cette infinie beauté avant d’affronter l’hiver qui vient. Le magnifique est une excellente gazoline. Lorsque la chlorophylle se dégrade à l’automne, elle laisse place à tous…
Lire la suite...La nature terrestre est merveilleuse, je le dis souvent dans ces pages. J’aime ses sautes d’humeur, ses contrastes, ses crescendos extraordinaires. Ses aubes pâles de printemps, ses envolées lyriques de poésie automnale. Mais surtout, surtout, j’aime l’été! Ses trente-cinq degrés à l’ombre, l’eau glacée des ruisseaux qui fouette le sang en plein soleil. Les lacs…
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